La maladie de la mort
Rédigée par Marguerite Duras aux pires heures de sa maladie, dans un semi-coma, souffrant d’une cirrhose aiguë doublée d’une grave dépression, La Maladie de la mort est une plongée au plus profond des contradictions de l’âme. Entre l’intime, la douceur, la confidence, l’impersonnel, la distance, la résiliation et le désespoir, nous découvrons une vie qui se refuse obstinément.
Applicant au corps la déconstruction que l’écrivain inflige à la langue, la forme que René Magritte donna à L’Évidence éternelle est mise en mouvement de manière presque imperceptible, dans une temporalité évolutive et asynchrone discernable par des changements d’éclairage symboles des jours qui passent, des nuits partagées, dont le nombre est préalablement définit. Ce plan séquence est une oeuvre performative sur l’incapacité à aimer réellement.
Rédigée par Marguerite Duras aux pires heures de sa maladie, dans un semi-coma, souffrant d’une cirrhose aiguë doublée d’une grave dépression, La Maladie de la mort est une plongée au plus profond des contradictions de l’âme. Entre l’intime, la douceur, la confidence, l’impersonnel, la distance, la résiliation et le désespoir, nous découvrons une vie qui se refuse obstinément.
Applicant au corps la déconstruction que l’écrivain inflige à la langue, la forme que René Magritte donna à L’Évidence éternelle est mise en mouvement de manière presque imperceptible, dans une temporalité évolutive et asynchrone discernable par des changements d’éclairage symboles des jours qui passent, des nuits partagées, dont le nombre est préalablement définit. Ce plan séquence est une oeuvre performative sur l’incapacité à aimer réellement.
Installation audiovisuelle réalisée avec l’actrice parisienne Marion Trémontels
Plan séquence sonorisé de 46 minutes 5 écrans superposés
— ACT : Zurich, Bern, Basel, Sierre, Genève
— Boulevard Helvétique, Genève
Plan séquence sonorisé de 46 minutes 5 écrans superposés
— ACT : Zurich, Bern, Basel, Sierre, Genève
— Boulevard Helvétique, Genève